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Mon cher Ami,
Merci pour votre aimable lettre. Je m'empresse de vous envoyer mon dernier livre de pédagogie et je serais heureux de connaître votre appréciation sur lui [1]. Pour d'échanger de publicité, je ne demande pas mieux et je garde votre petite notice. Seulement ça ne sera pas avant le mois de mai 1910! Moi aussi j'aurai grand plaisir à parler avec vous de psychiatrie. Je prépare tout un topo sur l'aliénation mentale avec Simon [2]. Cela paraîtra dans la prochaine Année. Je recommanderai celle étude à toute votre attention d'aliéniste. J'imagine que c'est ce que j'ai fait de mieux.
Cordialement
A. Binet
[1] Cfr. la recensione di Ferrari ad A. Binet, Les idées modernes sur les enfants, Paris, Flammarion, 1909, in«Rivista di psicologia», 1909, vol. V, pp. 526-527.
[2] Lo psicologo francese Théodore Simon (1872-1961), con il quale Binet ideò la sua scala metrica dell'intelligenza.
[Parigi, 5 novembre 1909]
Mon cher Ami,
Merci pour votre aimable lettre. Je m'empresse de vous envoyer mon dernier livre de pédagogie et je serais heureux de connaître votre appréciation sur lui [1]. Pour d'échanger de publicité, je ne demande pas mieux et je garde votre petite notice. Seulement ça ne sera pas avant le mois de mai 1910! Moi aussi j'aurai grand plaisir à parler avec vous de psychiatrie. Je prépare tout un topo sur l'aliénation mentale avec Simon [2]. Cela paraîtra dans la prochaine Année. Je recommanderai celle étude à toute votre attention d'aliéniste. J'imagine que c'est ce que j'ai fait de mieux.
Cordialement
A. Binet
[1] Cfr. la recensione di Ferrari ad A. Binet, Les idées modernes sur les enfants, Paris, Flammarion, 1909, in«Rivista di psicologia», 1909, vol. V, pp. 526-527.
[2] Lo psicologo francese Théodore Simon (1872-1961), con il quale Binet ideò la sua scala metrica dell'intelligenza.
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